Quand cette énorme boite est fermée, elle ressemble à un coffre de bois noir dont le couvercle est percé de deux trous.
C'est par ces deux ouvertures qu'étaient passées les jambes de la victime; les trous d'une planche intérieure lui emprisonnaient les genoux, tandis que ses bras étaient maintenus par la cangue placée au dessus de la boite. Les vertèbres faisaient alors saillie, et chaque coup de verge ou de corde arrachait au condamné des cris de douleur. La machine à fouetter servit jusqu'au siècle dernier dans la prison de Newgate, à Londres.
Mon Dimanche, revue populaire illustrée, 25 janvier 1903.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerUne bien effroyable machine...pour le pauvre bougre subissant les multiples "coups de verge" de son bourreau !
SupprimerMon cher Gastroentherix, je vois qu'encore une fois vous vous placez du côté des criminels. Vous devriez, au contraire,féliciter l'inventeur de cette machine qui, nous a permis d'économiser deux postes, les deux personnes chargées de tenir l'infâme rebus de l'humanité tentant d'échapper à la douleur intense provoquée par l'application des verges. Vous viendrez ensuite vous plaindre d'être écrasé d'impôts et de taxe !
RépondreSupprimerVous essayez de me mettre en boite ?
RépondreSupprimer