Dames punies.
Il y a, paraît-il, de méchantes femmes, mais seulement en Chine, c'est à dire dans un pays si lointain qu'il ne compte pas pour ainsi dire. Au moins, sous ce rapport, car nous avons tout à redouter du péril jaune armé.
Il arrive donc, en Chine, encore aujourd'hui, que certaines dames mal embouchées, sont condamnées à l'exposition publique, à la cangue, c'est à dire à "l'emballage" de la tête entre des planchettes ad hoc, dûment scellées et cadenassées, les victimes n'ayant que la ressource de se promener sous les lazzis du populaire.
Béni soit le progrès qui à supprimé chez nous ces peines d'un autre âge.
(World's Sunday)
Mon dimanche, journal populaire illustré, 3 mars 1907.
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